Un livre-témoignage qui m’a profondément émue. Je l’ai aussitôt fait circuler autour de moi.
Dominique
Une plongée à la fois dans l’histoire personnelle de Dunia Miralles, dans celle de l’immigration espagnole dans la région et dans celle des dernières années de la dictature. Beaucoup de segundos y retrouveront une part de leur propre histoire, notamment en lien avec les activités des centres espagnols ou italiens.
Francesco Garufo – Conservateur du Musée d’histoire de La Chaux-de-Fonds
J’ai lu Le baiser d’Anubia compulsivement en une nuit. Ton texte, poétique, m’a profondément touchée. J’ai une fille qui a été diagnostiquée borderline.
Marie – lectrice
Dunia y relate ses souvenirs d’enfance avec, en plus, une grande part d’analyse de la communauté espagnole arrivée en Suisse dans les années 1960. Ce qui me touche particulièrement dans ce livre, ce sont les nombreux témoignages des membres de ma famille directe, particulièrement ceux de mes parents.
Alexis Moreno – entrepreneur – Lausanne
J’ai eu un monstre plaisir à le lire et j’ai appris plein de choses. J’ai aussi beaucoup apprécié les références et les sources.
Odile Q – lectrice
Très émue de retrouver, en écho de ce texte, une période lointaine de ma vie où je militais très activement à Genève contre le franquisme et pour les droits des immigrés, aux côtés des organisations que vous citez…
Eliane – lectrice
J’ai terminé ce matin la lecture de « Caravelles du Seyon ». J’ai été frappée par la force qui se dégage de ton propos. L’ANCL a fait un excellent choix en te confiant l’écriture de son vingt-et-unième ouvrage.
Anne-Marie C – lectrice
Je suis passé par beaucoup d’émotions fortes lors de cette lecture quasiment éducative pour moi.
Vincent
Votre récit, incroyablement bien tressé, nous mène d’une époque à l’autre sans jamais nous ennuyer ou nous égarer.
Monica
Un ouvrage touchant la Suisse et l’Espagne, éclairant de façon originale un pan de l’Histoire souvent ignoré : percutant et émouvant !
Charles R.
Ces quelques mots pour vous remercier pour votre récit « Caravelles du Seyon » qui m’a passionné du début à la fin, je n’ai pu le lâcher !
Max S.
Très fort et terrifiant, comme tous vos livres ! Ça secoue, j’ai souvent dû arrêter de lire, parce que: trop, c’est trop! Mais ça vit, ça hurle, ça pleure et ça rit (rarement, il faut le dire) et toute cette humanité en folie me fait penser aux peintures de Breughel… »
Cosette, lectrice
Il y a une année, je voyais un psy. J’avais le sentiment qu’il ne comprenait pas ce que je tentais de lui dire de mes relations avec les hommes. Du coup, saoulée +++ j’ai commandé « Fille Facile » et lui ai offert. Suite à cette lecture il a enfin compris.
Jennifer, lectrice
Vous arrivez magnifiquement bien à décrire le fonctionnement de l’esprit et de la motivation dans ces moments où on n’arrive plus à avancer.
Sylvie, lectrice
J’ai été frappée par l’excellent dosage d’érudition. Un vrai régal…et une vraie plume
Manuella, lectrice
Un petit livre qui se lit tout seul ! Des chapitres courts. Deux histoires parallèles. Parfois dans l’obscurité nos démons reviennent
les lectures de Colombe – Instagram
Je suis italienne, fille d’immigrés, née dans les années septante en suisse romande, à Neuchâtel, me suis toujours sentie une étrangère même dans ma propre tête et je suis claustrophobe. Certains de mes amis se reconnaîtront peut-être dans cette fiction.
Tatiana – lectrice
Merci Dunia Miralles pour l’adrénaline, la colère, les souvenirs, pour toutes les émotions qui m’ont traversé l’esprit …Ça devrait suffire pour vous convaincre de remonter le temps en descendant au fond du gouffre du cafard en lisant ce roman noir… et rouge
Un roman de justice ou de vengeance, aux lecteur•ice•s de décider. Pour ma part, j’ai été emplie d’empathie pour l’enfant…
mots_les_coeurs de l’Institut littéraire de Bienne, Instagram
Magnifique Dunia Miralles ! L’ancienne amatrice de spéléologie ne peut qu’apprécier ce texte souterrain à plusieurs niveaux. Merci et à lire sans restriction.
Florence Kunz, lectrice
Cette lente et méthodique destruction d’une enfance par son institutrice est racontée avec une hauteur inversement proportionnelle à la profondeur du gouffre de douleurs intenses que ressent la narratrice !
V. lecteur
Gracias por escribir libros esenciales. Tanta gente todavía sigue sufriendo con ideas tóxicas …
Sophie, lectrice
Je viens de terminer Le Gouffre du Cafard à l’instant. J’ai adoré. Merci de nous faire partager ton talent.
Olivier C, lecteur
Tout s’imbrique parfaitement dans ce récit qui va d’horreurs en malheurs en passant par l’illusion brève d’un bonheur trompeur et destructeur
Vincent Bélet, libraire
Les habits noirs du sport
Giuseppe Merrone, éditeur
Un récit haletant doté d’un superbe suspense… Un véritable page turner!
Laure Mi Hyun Croset, écrivaine
Ce récit est intéressant non seulement du point de vue de l’acharnement d’un adulte ayant autorité que de la problématique de l’intégration…
Marie Christine Horn, écrivaine
Dunia Miralles permet à celles et ceux qui souffrent de s’y retrouver. D’y puiser peut-être un peu d’espoir. Et Le Baiser d’Anubia, offre à celles et ceux qui sont épargnés par la maladie psychique, un éclairage indispensable par les maux traversés par tant d’hommes et de femmes.
Joëlle-Pic Romain, 1000 feuilles, RTN
On ne sort que très rarement totalement indemne de la lecture d’un livre de Dunia Miralles
Esther Sarre, lectrice
Ça m’a fait du bien de voir votre avis sur les psys. Mes enfants ont été maltraités en psychiatrie. Les soignants devraient se documenter pour se mettre en position de pouvoir aider efficacement
S. lectrice
En voyant cette manière d’écrire, j’ai eu quelques appréhensions. J’avais peur que ce soit une suite de mots incompréhensibles et sans sens. Mais non ! C’est ce qui est génial ! Ça se lit tout seul. Même si je ne suis pas très à l’aise avec le sujet, je me suis laissé emporter.
R. lectrice
Le baiser d’Anubia est un choc littéraire en mental. C’est tellement ça. Ce livre m’a bouleversée. Merci de l’avoir écrit.
Denise, lectrice
À celles et ceux qui vivent de près ou de loin avec des troubles bordeline ou/et qui s’intéressent à la vie construite autour d’eux, ce livre est pour vous.
Tatiana Rigo, lectrice
Mais il est aussi pour certains professionnels de la santé mentale qui doivent encore vivre quelques expériences pour comprendre de quoi ils parlent vraiment, ça leur changera des livres de médecine psychiatrique et du compendium.
J’ai ADORÉ « Le Baiser d’Anubia ! Je l’ai ADORÉ !!!! C’est un grand livre. Un livre important. Je l’ai lu d’une traite, sans pouvoir m’arrêter. Dieu, que je m’y suis retrouvée. Cette mise à nu est tellement nécessaire »
Elodie Perrelet, blogueuse littéraire à La Vie Ardente
Le baiser d’Anubia est extraordinaire en fond, en forme et en contenu. Intriguant, interpellant, émouvant ce texte est vraiment spécial.
Gabriella, lectrice
Je suis émue du partage, c’est presque une confession mais sans péché, quelle justesse dans le choix des mots qui collent aux maux.
Tatiana Rigo, lectrice
MERCI pour ce partage très intime. MERCI de m’avoir permis de mettre des mots sur ces troubles qui, jusqu’à aujourd’hui, me paraissaient un peu nébuleux. Dans ma vie, d’humaine sensible à l’humanité et à sa psyché, il y aura l’avant et l’après « Le baiser d’Anubia ». MERCI pour ce livre, si riche et éclairant, pour des gens qui ont la chance de ne pas côtoyer cette souffrance de l’intérieur.
Sandrine N, infirmière en psychiatrie
Quelle lecture ! J’adore!
Piero D. A, lecteur
Un témoignage terriblement émouvant où le désespoir et la poésie s’unissent pour éclairer la science. Remarquable.
Charles R., lecteur.
Des mots comme des pierres de lune. Poésie à l’état pur du diamant. Une façade impénétrable qui cache une fissure abyssale.
Vincent B. libraire
Dunia Miralles, une Virginie Despentes helvétique, défonce les mythes d’une Suisse propre en ordre.
Nicolas Derron, écrivain
Swiss Trash a été un événement littéraire majeur de la jeune adulte que j’étais.
Nate, lectrice
Je suis fan de Swiss Trash.
Peter Greenwood, réalisateur et producteur à la télévision suisse romande, RTS.
Dans Folmagories chaque texte devient un fol asile… s’y mélangent entre la réalité et le merveilleux sorcières, vouivres, feux-follets, diables mais aussi d’autres chimères moins opaques…
J.-P. Gavard-Perret, critique d’Art, blog 24h.
Je me suis reconnue dans les femmes de Fille facile et pour une fois je me suis sentie comprise.
Annie, lectrice
Inertie : un roman qui décape, qui met mal à l’aise et qui touche… terrible… à lire absolument !
Rachel Gaume, libraire
Folmagories me rappelle Le Maître et Marguerite de Boulgakov.
Elodie Perrelet, blogueuse littéraire à La Vie Ardente
Dunia Miralles, elle est tout simplement une auteure majeure de la Suisse romande.
Serge Robert, auteur
Une écriture émotionnelle au phrasé vif et lapidaire mais néanmoins très construite et dotée de plusieurs niveaux de lecture.
Claude Grimm, Le Courrier
Un roman bouleversant, on ne sort pas indemne de la lecture de ce livre.
Joëlle Pic-Romain, RTN
Une littérature en prise avec les réalités sociales.
Julien Burri, L’Hebdo
Des nouvelles au charme gothique trempées dans une mélancolique sérénité voguant sur un océan d’adrénaline.
Vincent Bélet, gérant Payot
Folmagories : la magie des mots qui transpercent.
Yves, lecteur
Swiss trash fait partie des livres qui m’auront le plus ému et bouleversé… l’un des ouvrages qui m’a (re)donné le goût à la lecture et à l’exploration littéraire.
Olivier C. lecteur
La sorcellerie de Folmagories va comme un gant à Dunia Miralles qui ajoute à son talent de romancière de la marge celui de poétesse du surnaturel.
Bernadette Richard, Le Quotidien Jurassien
Dunia Miralles reçoit le Prix Bibliomedia 2015 pour son roman Inertie paru en 2014. Le jury a voulu récompenser une voix engagée avec un style incisif et poignant, mais sans effet de manche.
ATS
J’ai terminé Swiss trash. Il faut faire un film. Il faut.
Natacha Astuto, autrice de théâtre
Une fois de plus, j’admire cette façon directe, authentique, tout à la fois crue et poétique d’écrire les choses, d’écrire la vie.
Louise D. lectrice
La formidable Bukowskienne et non moins talentueuse Dunia Miralles.
Piero D. A, lecteur
Les quatre héroïnes du roman Swiss trash sont passées par toutes les pupilles de Suisse et de France… depuis que Dunia Miralles a fait du bouquin un best-seller aussi sulfureux que libérateur.
Fred Valet, Be Curious
Un roman urbain implacable.
Isabelle Falconnier, L’Hebdo
L’immeuble d’Inertie recèle son lot d’histoires sombres et son quota de psychoses en tout genre.
Mélanie Croubalian, RTS La 1ère
La vie quoi. Pas celle des magazines en papier glacé, pas la rose bonbon. La vraie…
Amandine Glévarec, Littérature romande
S’il y a beaucoup de gris dans Inertie, il y a aussi quelques fulgurances de lumière…
Catia Bellini, Radio Canal 3
Ça ressemble à ce que faisait Georges Perec mais avec un talent tout particulier.
Jean-Marc Richard, La 1ère
Un livre percutant à lire absolument ! J’ai surkiffé !
Valérie D. Sangpages
Un roman claque, larmes, dégoût et révolte… L’espoir, quand même, un peu, l’amour, enfin, beaucoup, et un livre qui marque.
Mélanie Chappuis, écrivaine
Ton livre m’a bouleversée par ses émotions, et m’a émerveillée par son écriture. Toute la jeunesse de ce pays devrait impérativement le lire.
Marie-Christine Horn, écrivaine.
Roman ? Poésie ? Une femme parle d’amour dans un ouvrage qui entremêle le français et l’espagnol. Avec Alicante Dunia Miralles atteint une vraie maturité littéraire.
Vincent Bélet, gérant Payot.
Pour son nouveau livre Mich-el-le, Dunia Miralles a choisi le thème du trouble dans l’identité sexuelle.
Canal Alpha
Folmagories : on pense à Poe, à Melville, aux Contes fantastiques de Théophile Gautier.
Jean-Michel Olivier, écrivain, Tribune de Genève
Alicante c’est un voyage poétique et sensoriel, qui me touche, m’effleure, me malaxe, me torture, m’exalte, m’excite et me bouleverse.
Tatiana Rigo, lectrice
Mich-el-le souffre dans ses vêtements d’homme.
Sylvie Balmer, L’Express.
Parmi les livres suisses que j’ai lus depuis 22 ans, Inertie est à mes yeux le meilleur du millénaire.
Olivier Sillig, écrivain
Inertie m’a bouleversé. C’est une des œuvres les plus impressionnantes de ma vie de lecteur.
David, lecteur