D’écrire ma ville Neuchâtel

D’écrire ma ville est un projet d’écriture participative qui permet aux habitants d’un lieu d’en raconter leur perception. A travers leurs yeux, leurs stylos, leurs claviers et des écrits très personnels, la mémoire d’une ville est mise en page grâce à des anecdotes, des souvenirs, des poèmes …L’idée est qu’au travers de récits personnels de lieux, personnalités, anecdotes, souvenirs, soit saisie la mémoire vive subjective d’une ville, offrant ainsi une image polyphonique de celle-ci. Aux récits de tout un chacun, se mêlent les mots de personnalités politiques, d’écrivains, d’artistes, de notables…

Plus d’info dans le blog du journal Le Temps : « Des avenues et des fleurs »

Decrire Ma Ville Neuchatel Scaled 1 Dunia Miralles

Contribution

Collectif 2022
Editions Soleil Blanc

Pour obtenir le livre

Le livre est commandable auprès de « d’écrire ma ville » par toutes les librairies de Suisse et au-delà.

La cinquième saison

Ouverte à tous les courants de pensée, elle veut d’abord rendre compte de quelques livres de valeur oubliés par la critique. Mais elle veut être aussi une tribune pour les voix nouvelles et s’ouvrir à toutes les expérimentations littéraires. Oscillant entre le passé et l’avenir, échappant à tous les dogmatismes, à tous les clans, La cinquième saison est la saison de l’espérance, celle qui échappe à toutes les étiquettes et à tous les a priori.

Dans le n°5 Dunia Miralles a écrit 23 décembre, une nouvelle dont le sujet est l’amour et le sexe. Dans le n°11 elle révèle son rapport à la poésie, et en particulier à la poésie espagnole, dans Acte de résistance : l’élimination programmée des intellectuels.

Dans ces numéros ont également écrit : Daniel Abimi, Jean-Pierre Rochat, Katia Bouchoueva, Valérie Gilliard, Laurence Boissier, Max Lobe, Arthur Billerey, Matthieu Corpataux, Fabienne Althaus Humerose…

5e Saison Cul Sec Dunia Miralles Dunia Miralles
5e Saison Passage Poeme Dunia Miralles1 Dunia Miralles

Contribution

Collectif 2018-2020
Revue littéraire

La cinquième saison est une revue littéraire trimestrielle créée par quelques jeunes écrivains romands.

Hauteur.e.s du Temps

Un parcours littéraire à travers les deux cités horlogères – Le Locle et La Chaux-de-Fonds – invite à découvrir 42 citations peintes sur les murs par l’artiste Jennifer Mermod tout en mettant à l’honneur les auteurs de la région d’aujourd’hui et d’autrefois. Avec pour point commun le thème du temps, ces textes vous offrent également l’occasion d’apprécier l’architecture unique de ces villes inscrites à l’UNESCO.

Cette publication permet de retrouver toutes les citations immortalisées sur les murs des deux communes, d’en situer le contexte et de découvrir ou de mieux connaître leurs auteurs : Thomas Sandoz, Monique Saint-Hélier, Yves Velan, Antoinette Rychner, Le Corbusier, Hans Christian Andersen, Monique Laederach, Blaise Cendrars…

L’on peut trouver la citation de Dunia Miralles dans ce lieu prisé de tous les Chaux-de-Fonniers : Le Bois du Petit-Château où se trouve à présent le MUZOO.

Hauteur.e.s du Temps a été réalisé  dans le cadre du 10e anniversaire de l’inscription de l’urbanisme horloger au patrimoine mondial de l’UNESCO. 

Hauteurs Temps Miralles Dunia Miralles

Contribution

Collectif 2019
Édition 1000m d’auteur(e)s

Le livre se trouve:
à La Chaux-de-Fonds

Dans les librairies La Méridienne et Payot.
A l’Office du Tourisme.
A la Billetterie du Théâtre,

à Le Locle

A la librairie Aux Mots Passants.

Le parcours se trouve dans le livre ou à L’Office du Tourisme.

Dès le printemps 2023 une balade avec le petit train, au Locle et à la Chaux-de-Fonds, permettra aux voyageurs d’aller à la rencontre de ces citations tout en faisant une jolie balade confortablement assis.

Chairissons-nous !

Essai de Stéphanie Pahud linguiste, Docteure ès Lettres, Maître d’enseignement et de recherches en Lettres, à l’UNIL.

Chairissons-nous ! est une incitation à refaire corps. Le verbe « chairir » partage les valeurs essentielles de son homophone « chérir » : l’attention, le respect, la bienveillance. S’il est écrit avec l’ « ai » de la « chair », c’est pour rendre sa place au corps dans les liens que tissent et cultivent ces aspirations. Le corps est un capital, matériel et symbolique. Le corps est aussi l’œuvre évolutive du frottement de la vie contre nos peaux. « Se chairir », c’est prendre conscience de la liberté que nous offre ce mouvement. C’est nous alléger de fausses évidences qui brusquent nos vulnérabilités et nous brident. C’est colorier de joie et d’audace nos espaces-corps. Questionnant autant l’image de soi, les liens corps-environnement, l’activisme féministe et le tatouage que l’anorexie ou le body positivisme, Chairissons-nous ! est une invitation à parler créativement de nos corps.

Chairissons Nous Stephanie Pahud Dunia Miralles

Essai

Stéphanie Pahud, 2019
Editions Favre

Avec les contributions de :

Frédéric Beigbeder, Sunny Buick, Artgod Father, David Foenkinos, Philippe Liotard Charles Moraz, Myriam Moraz-Détraz, Albert Moukheiber, Raphaël Pasquini, Pascal Singy, Fred Valet et Nys Vanessa.

Dunia Miralles y figure avec une nouvelle :
Un samedi parmi d’autres

Coco

Une série de portraits intimes d’Eve-Claudine Lorétan, alias Coco, artiste, performeuse, anarchiste autoproclamée, transsexuelle, femme machiste, mentalement sans abri, mannequin de Marianne Alvoni et cible privilégiée des tabloïds suisses.

Eve-Claudine Lorétan (Coco, ou Dana, ou Patricia, 1969-1998) eut une vie trop courte. Olivier Fatton l’a rencontrée un dimanche de novembre 1989. Cet « ange à la fois léger et si mélancolique » a fasciné le photographe dès le premier instant. Alors qu’ils prennent un café dans un club gay à Berne, ils concluent un contrat : Coco pose pour lui en échange d’un travail documentaire sur son adaptation sexuelle. Le pacte est devenu une histoire d’amour au cours de laquelle le photographe réalise de nombreux clichés de Coco : portraits intimes, photographies de mode mises en scène, à la maison, sur la route, dans les clubs ou à la montagne, qui en dévoilent les différentes facettes.

Olivier Georges Fatton (né en 1957 à Delémont, Suisse) est un photographe autodidacte spécialisé dans le portrait.
Dunia Miralles a écrit les textes qui racontent l’histoire de Coco et de son ami Olivier G. Fatton. Livre bilingue français- anglais.

Coco Fatton Miralles1 Dunia Miralles
Coco Fatton Miralles3 Dunia Miralles
Coco Fatton Miralles4 Dunia Miralles
Crédit photo : La Chambre Noire, Lausanne.

Contribution

Collectif 2019
Edition Patrick Frey, Zurich
Photographies d’Olivier G. Fatton
Textes Dunia Miralles

Pour obtenir le livre

La Chambre Noire, Lausanne
Edition Patrick Frey, Zurich 
Les presses du réel, pour une commande hors de Suisse.

Quand j’avais 17 ans

Le Roman des Romands est un prix littéraire qui a vu le jour en 2009. Il a pour objectif de promouvoir la littérature contemporaine de Suisse romande et de favoriser le lien entre les auteurs et leur public, et plus particulièrement le lectorat jeune.

Pour ses 10 ans, le Roman des Romands a publié une anthologie baptisée Quand j’avais 17 ans, qui reprend 70 textes écrits par les auteurs qui ont participé à l’aventure.

17 Ans Roman Romands Dunia Miralles Dunia Miralles

Contribution

Collectif 2019
Publication anniversaire pour les 10 ans du Roman des Romands 

Pour obtenir le livre rendez-vous sur le site du Roman des Romands

Fille Facile

Fille facile est un recueil de six nouvelles dont les protagonistes sont des femmes. Les récits sont ressentis à travers leurs corps et leurs sentiments. Tout en pivotant autour de la psychologie des personnages, chaque histoire raconte la difficulté d’être une femme sexuée, libre de son corps et des désirs qui s’imposent à lui. Fille facile aborde également les projections erronées que l’ont fait sur nos partenaires, et les rapports de force qui se jouent à travers le désir d’amour ou de sexe.

Paru en 2012, Fille facile présage la vague #MeToo initiée en 2017 en dénonçant certaines violences faites aux femmes, notamment avec la nouvelle éponyme qui lui donne son titre.

Miralles Fille Facile Dunia Miralles

Fille facile
Torticolis et frères 2012
Nouvelles

Nirvana’ un extrait de Fille facile

Dans la presse

Le Quotidien Jurassien « D’une écriture directe, sans fioritures, Miralles décrit le sexe et ses obsessions dans ses aspects les plus morbides. Fidèle en cela à Swiss Trash, Fille facile dépeint des ombres sales avec une justesse de ton qui vous file le blues. »
Bernadette Richard

L’Impartial « Dunia Miralles, chaleureuse, souriante, écrit pourtant des pages sombres, mais aussi tendres et chargées d’humanité. »
Claire-Lise Droz

Ils, elles disent…

Je me suis reconnue dans les femmes de Fille facile et pour une fois je me suis sentie comprise.

Annie, lectrice

Suissesse d’origine espagnole, Dunia Miralles se définit elle-même comme une cumulatrice de paradoxes.

George Pop, La 1ère

Dunia Miralles, chaleureuse, souriante, écrit pourtant des pages sombres, mais aussi tendres et chargées d’humanité.

Claire-Lise Droz, L’Impartial

Le baiser d’Anubia

Un jour par hasard, Dunia Miralles tombe sur une citation du psychologue Carl Gustave Jung « La dépression est comme une femme vêtue de noir. Si elle arrive, ne l’expulsez pas ; invitez-la à table … » et s’aperçoit que c’est exactement ce qu’elle fait depuis qu’Anubia, la Dame Blanche de son trouble de la personnalité, s’est présentée à elle. En attendant, les évaluations du spécialiste, elle couche sur papier des fragments de sa vie quotidienne, les sensations étranges et autodestructrices induites par son mental, l’amour et le soutien que lui apporte son compagnon Orlando, les difficultés rencontrées avec ses psychiatres. A côté de cela, pour se rassurer, elle mène des recherches sur des personnes célèbres connues pour leurs troubles psychiques : Jean Cocteau, Billie Eilish, Kurt Cobain, Virginia Woolf, Elon Musk, Gérard de Nerval… et tant d’autres.

Dunia Miralles Baiser Anubia Couv Dunia Miralles

Dans la presse

RCV La Radio du Pays Horloger (France)
Voir l’article [via le site]

RTS la 1ère: Vertigo
« Dans ce livre, il y a la douleur de l’attente – du diagnostic – mais aussi l’amour d’Orlando. Heureusement qu’il est là ».

Ecouter [via le site]

ArcInfo
Dunia Miralles, écrivaine neuchâteloise borderline
Lire

Couleur3
« Si elle n’écrit pas elle meurt. Elle ne sait pas si elle serait devenue écrivaine sans ce trouble. »

Le Courrier
Ce livre aurait pu s’appeler Diagnostic
Voir l’article [image]

RTS : La 1ère
« La ligne de Cœur : un livre à lire absolument. »
(cette émission en direct n’est pas enregistrée)

Le Grand Gazomètre
Comme un jeu avec les codes littéraires
Lire

Le Regard Libre
Dunia Miralles se dévoile
Lire

Le Ô
Dans la tête d’une borderline
Lire

La Matinale, RTN
Voir, lire, écouter [4m15s]

Bon pour la tête
Plongée au cœur d’un trouble psychique
Lire

1000 feuilles, RTN
Ecouter [3m30s]

[Janvier 2023 : parution du nouveau livre de Dunia Miralles]

Le baiser d’Anubia,
Torticolis et frères 2023

Brèves pensées en mélancolie borderline.
Fragments et retours sur le trouble de la personnalité limite

Diagnostiquée borderline, pendant quelques mois l’auteure écrit ses sentiments et ses ressentis en une période où elle est particulièrement sujette à des crises.

Ils, elles disent…

Dunia Miralles permet à celles et ceux qui souffrent de s’y retrouver. D’y puiser peut-être un peu d’espoir. Et Le Baiser d’Anubia, offre à celles et ceux qui sont épargnés par la maladie psychique, un éclairage indispensable par les maux traversés par tant d’hommes et de femmes.

Ecouter

Joëlle-Pic Romain, 1000 feuilles, RTN

On ne sort que très rarement totalement indemne de la lecture d’un livre de Dunia Miralles

Esther Sarre, lectrice

Ça m’a fait du bien de voir votre avis sur les psys. Mes enfants ont été maltraités en psychiatrie. Les soignants devraient se documenter pour se mettre en position de pouvoir aider efficacement

S. lectrice

En voyant cette manière d’écrire, j’ai eu quelques appréhensions. J’avais peur que ce soit une suite de mots incompréhensibles et sans sens. Mais non ! C’est ce qui est génial ! Ça se lit tout seul. Même si je ne suis pas très à l’aise avec le sujet, je me suis laissé emporter.

R. lectrice

Le baiser d’Anubia est un choc littéraire en mental. C’est tellement ça. Ce livre m’a bouleversée. Merci de l’avoir écrit.

Denise, lectrice

À celles et ceux qui vivent de près ou de loin avec des troubles bordeline ou/et qui s’intéressent à la vie construite autour d’eux, ce livre est pour vous.
Mais il est aussi pour certains professionnels de la santé mentale qui doivent encore vivre quelques expériences pour comprendre de quoi ils parlent vraiment, ça leur changera des livres de médecine psychiatrique et du compendium.

Tatiana Rigo, lectrice

J’ai ADORÉ « Le Baiser d’Anubia ! Je l’ai ADORÉ !!!! C’est un grand livre. Un livre important. Je l’ai lu d’une traite, sans pouvoir m’arrêter. Dieu, que je m’y suis retrouvée. Cette mise à nu est tellement nécessaire »

Elodie Perrelet, blogueuse littéraire à La Vie Ardente

Le baiser d’Anubia est extraordinaire en fond, en forme et en contenu. Intriguant, interpellant, émouvant ce texte est vraiment spécial.

Gabriella, lectrice

Je suis émue du partage, c’est presque une confession mais sans péché, quelle justesse dans le choix des mots qui collent aux maux.

Tatiana Rigo, lectrice

MERCI pour ce partage très intime. MERCI de m’avoir permis de mettre des mots sur ces troubles qui, jusqu’à aujourd’hui, me paraissaient un peu nébuleux. Dans ma vie, d’humaine sensible à l’humanité et à sa psyché, il y aura l’avant et l’après « Le baiser d’Anubia ». MERCI pour ce livre, si riche et éclairant, pour des gens qui ont la chance de ne pas côtoyer cette souffrance de l’intérieur.

Sandrine N, infirmière en psychiatrie

Quelle lecture ! J’adore!

Piero D. A, lecteur

Un témoignage terriblement émouvant où le désespoir et la poésie s’unissent pour éclairer la science. Remarquable.

Charles R., lecteur.

Des mots comme des pierres de lune. Poésie à l’état pur du diamant. Une façade impénétrable qui cache une fissure abyssale.

Vincent B. libraire
Image Anubia Dunia Miralles
“Il disait que j’étais une Marilyn brune.
Marilyn Monroe, icône borderline”.
© Chingón

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